top of page

Salvador de Bahia !

 

Après une transatlantique de 24 jours, nous sommes arrivés à Salvador de Bahia ! 

 

C'est une ville extraordinaire qui oscile entre architecture splendide et architecture de ruine, grande richesse et grande pauvreté.

Le centre historique de Salvador de Bahia est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO avec des bâtiments religieux, civil et militaire. 

 

Salvador de Bahia compte une grande population d'origine Africaine. En effet, son emplacement avait pour but de faciliter les échanges avec l'Afrique, le Moyen Orient. 

 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   

                                                                          L'ambiance de la ville est superbe. Les habitants sont souriants, ouverts mais il trône quand même la peur des favelas, de la ruelle                                                                           mal famée. Les touristes n'osent pas sortir leurs appareils photos, quitter leurs parcs... Ils connaissent tous une amie qui a une                                                                                 amie dont le fils est un ami proche d'un certain Jacques que personne ne connaît et qui a un jour été menacé et qui a dû donner                                                                              50 rials (15 euros) alors que 20 000 autres touristes silonnent les rues sans problème.

 

Pour le moment, la communication est pas évidente avec les locaux. Je baragouine un genre d'espagnol mélangé à un faux portuguais. L'anglais n'étant que peu parlé dans le pays, il va bien falloir s'y mettre ! 

 

Je pars donc demain (jeudi 15 janvier) pour aller au nord de Recife et commencer l'autostop !

 

Mardi 20 février. Je suis donc parti de Salvador jusqu´à Maragogi dans le nord de du Brésil. Mon premier trajet c´est fait avec un jeune de 24 ans, Raphael qui avait une belle moto sur laquelle je me suis gentillement cramé le mollet. . Nous parlons autour d´une glace qui m´ai offerte et il me dépose en un lieu stratégiaque pour continuer ma route. Par la suite, j´enchaine quelques voitures et finit la soirée dans un bar avec des locaux puia sur la plage dans mon hamac.

 

Le matin, me voila reparti vers Aracaju, 3 gars me prennent le dernier m´offre un chinois avec sa famille et me fait visiter la ville... il était tres fier de sa ville (elle est propre, les gens sont polis...) Pour moi elle etait assez banale mais ce fut une superbe rencontre. Je decide donc de tracer ma route directement apres le déjeuner sans oser lui demander de me redeposer sur la route car je me voyais mal lui dire que je n allais pas visiter sa ville cherie. Erreur ! j ai galéré à repartir et puis ici c´est un cagnard monstre, j ai tout le temps soif ! En pleine ville, je tente le stop et rien a faire, on n´arrete pas de me dire que là ou je veux aller c´est loin. Un type s arrete il me demande 20 rials, je lui dit 0, je fais du stop.  Il Part. Il revient et me dit ok pour 0. Incomprehensible, j accepte. Ce gars est un genre de taxi sans licence qui veut bien m´aider. Il s arrete en ville va voir la police et me fait comprendre que la police va m aider. on repart et il me depose a la policia y militaria.La 3 gars sortent arme jusqu au dent. une tete de con s approche de moi sans un sourire je me leve pour lui dire bonour et il me dit de me rassoir. Je lui explique la situation et il me dit va falloir payer. je dis non j ai pas d argent.il me repond je vais reflechir puis il me dit c tres dangereux pres d ici. sur ce point on est d accord il a deux flingues et un genre de famas qui me pend au nez. je lui dit que payer n est pas le but de mon voyage et nous partons dans la voiture sans bien savoir ou je vais. Tranquille, je leur propose des gateaux, leur demande de l´eau, explique mon voyage et nous nous arretons a la policia ou un gentil mec m attend et m explique qu il va me deposer a la station d essence en direction de maceio. 

 

Sauvé, je repars soleil se couchant non loin des quartiers chaud avec une famille.j ai du mentir en disant que j attendais depuis 3h... j avais franchement pas envie de pioncer dans cette station. Au pire mon conducteur d avant m avait donne son téléphone et la police m a dit : si vous n arrivez pas a decoller venez nous voir (c etait pas trop loin) et on vous ramène a un hotel!

 

Nous partons pour Maceio. Sur la route un pneu crève. vous savez les petites bosses sur les lignes des autoroutes qui evitent que l on s endorme au volant. Chez eux c est des truc enormes!! pas etonnant que l on est creve. Ensuite, a un autre moment, le conducteur tourne a droite sauf que la circulation avait était inversée auparavant et on a failli se bouffer un camion lancé à pleine balle !! Ils m invitent au resto, me depose a une pousada, un genre d hotel.

 

Maceo. Le soir, je rencontre Raphael un Brésilien super cool et le lendemain Léa une francaise qui travaillait à Sao Paulo. Raphael vient me voir quand je prends mon petit déjeuner et il me dit, je pars de suite avec mon amie Mariana pour aller voir les plages paradisiaques du nord du Brésil. Ni une di deux j´accepte et convie Léa qui accepte à son tour. Superbe journée à profiter des plages paradisaques. Le soir à Maragogi, ayant un budget restreint, je décide de chercher à me loger chez l´habitant et termine chez Maria et Felipe. Une maison en construction et un accueil au top! 2 Jours à Maragogi avec Léa et je décide de repartir non plus au nord mais vers Salvador pour ensuite prendre la direction de Feira de Santana. Je ferai quasiment toute la route avec Christiano un routier. 

 

L´autostop au Brésil s´avère difficile non pas à cause de l´attente quoique hier j´ai attendu 4h mais surtout à cause de la chaleur et du fait que très peu de voitures s´arretent! Il y a au Brésil la culture de la peur. Tout le monde me dit de faire attention, très peu de personne s´arretent d´elles memes... 

 

La station d´essence est pour le moment mon meilleur ami. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

18 jours que je voyage en terre Brésilienne. Après un rapide passage vers le nord du Brésil où je profite de quelques plages paradisiaques, je décide de repartir vers le sud pour voir Chapada Diamantina. C'est un parc naturel anciennement réputé pour ses diamants et désormais pour ses paysages, ses grottes, ses cascades en veux tu en voilà. Apres une journée de stop, j'arrive à Palmeiras, une jolie petite ville colorée où je passerai la nuit. Au brésil le mot "tranquilo" est maître mais à Palmeiras c'est presque une religion. Chaleur aidant, tout le monde semble profiter de chaque instant. Métros, tramways... sont des mots inconnus.

 

Après une nuit dans un hostel (appelé le Globo), je décolle pour marcher vers la Vale de Capao. 2 heures de marche sur une route en terre. Le stop ce sera pas pour maintenant. Après 1h30 de marche, j'arrive dans un petit village, manque de me faire bouffer par un clébard qui sentait la rage à plein nez. Là, je rencontre un brésilien qui me conseil un racourci sympa à la fin duquel je trouverai une cascade. Je pars la fleur au fusil. Rapidement, je maudits ce type. La montée est atroce, mon sac dans lequel je porte encore salopette de voile, manteau de voile et bottes me démonte les épaules. Après 30 minutes d'escalades, j'entends de l'eau et quelques cris. J'accélère un peu et tombe sur une cascade qui me parait être un paradis terrestre. Ni une ni deux, en calbut, je saute tête la première dans la piscine que forme la cascade. Eau fraîche et vue imprenable. 

 

Entre deux brassées, je rencontre Amanda et Cauan deux brésiliens. Rapidement, ils m'invitent à dormir dans une maison dans laquelle ils vivent. Super ! On arrive, c'est le rendez vous des babacools, des Bob Marley... Tout le monde fume ici... et habitent cette même maison. Ils sont super cools bien que certains soient un peu bizarres. L'un d'eux (un garçon) me fait le baise main. Après tout si cela lui plaît pourquoi pas ? Nous dînons ensemble et retrouvons aussi Habbit un Américain rencontré sur la cascade. Amanda a été malade toute la nuit et le matin je ne retouvre pas Habbit. Je pars donc à pied pour visiter la chute Purification. Je prends la mauvaise route et finis en haute de la montagne avec une vue imprenable sur Vale de Capao. Deux randonneurs me remettent sur le droit chemin et je finis par arriver  Ã  la cascade. Magnifique ! Grosse baignade, déjeuner, sieste... et je repars à moto (moto-stop) vers le village. Après trois jours à la Chapada, je repars vers la côte est. Je n'ai pas envie de passer par les grosses villes de Brasilia et Belo Horizonte, surtout après cette escapade nature. J'oublais de dire que c'est tout le village qui fume...

 

De même qu'à l'allé, le retour s'avère difficile en stop lorsque, une Golf s'arrête. Ils m'amènent. Dans la voiture, ma voisine de gauche me dit qu'ils vont à Feira de Santana. Je lui réponds de suite que moi aussi je souhaite m'y rendre. Ils acceptent de m'y amener ! Un miracle en soit de trouver cette voiture sur cette route perdue. Après une journée de voiture me voilà au sud de Bahia. Des plages, des petits villages... ma descente vers le sud est superbe. A Valenca, je tente ma première expérience de batea-stop pour me rendre à Boipeba. Ca à marché. Boipeba, c'est une île perdue pour laquelle il faut 30 minutes de bateau pour s'y rendre. J'y rencontre trois Brésiliens avec qui je resterai deux jours.

 

L'autre rencontre que j'y fais c'est avec le plastique. Les plages et la mer sont très sales. Le brésilien n'a aucune notion de respect de la nature... Tout se jette par terre.

 

Après deux jours, je repars davantage dans les terres pour plus de rencontres locales et moins de contacte avec le tourisme. Je continu ma route vers le sud, tranquilo. Je fais les reoncontre souhaitées (pêche avec un brésilien, football de rue...) Le Brésil est un pays GIGANTESQUE et je comprends que si je veux avancer, il va me falloir me consacrer à deux jours de stop pour aller à Rio de Janeiro. Une journée, 500 Km de parcouru. Je pars repars confiant le second jour. 2h de stop sous une chaleur de bête, personne ne me prend. Je commence à désespérer lorsqu'un type à qui j'avais demandé s'il partait pour Rio de JANEIRO me dit : "j'ai un ami qui part demain pour Rio de JANEIRO, suit moi". Il me le présente, un de ses amis est là. Celui-ci me dit on va se baigner, manger un morceau... Je dépose mais affaires chez lui et en effet on s'est baigné au bord d'un lac et on a ripaillé de 13h à 16h30. Barbecue, bière... Le soir, n'importe qui aurait mangé une salade ou une soupe froide. Ha ha, on a mangé des Hamburgers énormes ! Il faut dire que celui chez qui je dors est un molusque de 2m05 pour bien 120Kg. Sans que je ne demande rien, il m'invite à dormir.

 

L'accueil brésilien est exceptionnelle. Tout se fait naturellement et avec plaisir. C'est presque un honneur pour eux de me recevoir. Quand je fais du stop, les gens m'offrent à manger, à boire, quand ils s'arrêtent dans un restaurant, on me l'offre...

 

Le lendemain, j'ai rendez vous à 13h pour partir vers Rio de Janeiro. Finalement ce sera 17h. Tranquilo. Finalement 19h30, tranquilo. Après 6 heures de route, on s'arrête dans une station d'essence et ceux, étrangement longtemps. Je finis par demander quand est ce que l'on repars. Le chauffeur et son ami me disent non mais on repars pas on est arrivé. Je leur dis "on va pas à Rio de Janeiro". Non, on va dans l'état de Rio est on y est. Il est 2h30 du matin, on est à 6h de Rio de Janeiro, il y a eu incomprhénsion entre le chauffeur, son ami qui me l'avait présenté et moi. Je pars me coucher derrière la station d'essence, frustré. 

 

Le lendemain, je repars avec un routier Ilicione. Nous faison 6h de route et enfin, Rio de Janeiro ! C'est une très grande ville où je retouve Marion, une cousine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rio de Janeiro est une ville grandiose qui s´est implantée au milieu des montagnes et au bord de la mer. C`est la deuxieme plus grande ville après Sao Paulo. La ville est découpée en plusieurs quartiers tels que le quartier de Copacabana, d´Ipanema, de Leblon (ou je vivais, merci Marion et JB)... La mer qui borde la ville ajoute une ambiance unique. On y retrouve les surfeurs, les baigneurs et les voleurs. Je me suis fais voler mes claquettes et ma chemise alors que je prenais un petit bain (le casse du siècle). L´activité de bord de mer, c´est aussi la musculation (plus que jamais), le volley...

 

Je suis donc resté une semaine à Rio de Janeiro et j´ai profité de la plage, des musées, des ballades de rues et des principaux sites touristiques. Pour avoir un apercu général, disons que le quartier de Santa Teresa est superbe, c´est le Montmartre de Rio de Janeiro avec une belle vue en hauteur, ses rues pavées... C´est aussi un quartier calme contrairement à Rio qui en général est bruyant. Ensuite, j´ai visité le Pain de Sucre de Rio qui offre un point de vue général sur Rio de Janeiro et qui permet de bien comprendre l´organisation de la ville. Depuis le pain de sucre auquel on accède avec un téléphérique, on voit aussi le Christ Rédempteur. Au final, le Pain de Sucre ne me parait pa être une visite primordiale dans la mesure ou l´on compte faire le Corcovado.

 

Le Corcovado, c´est le Pain de Sucre en mille fois mieux ! On y accède en petit train-train qui offre une belle vue durant son ascension. Arrivé en haut, on apercoi le Christ Rédempteur, plus vrai que nature et gigantesque ! Pour info : c´est une statue de 38 mètres de hauteur de 1931 érigée par le sculpteur Francais Paul Landowski et l´architecte Brésilien Heitor Da Silva Costa. La statue fait partie de l´une des Sept Merveilles du Monde. De là haut, une vue incroyable de la mer, la ville, les montagnes... et cette statue ! Quel MOLOSSE !

 

Encore une fois, malgré les maintes mises en garde sur le fait que Rio soit une ville très dangeureuse, il ne m´est rien arrivé à part mon vole de tongue - chemise. On sent les quartiers qu´il faut éviter. Je suis même allé dans une favelas et me suis offert les services d´un coiffeur. C´est la favelas de Vialegal. Cette favelas n´est pas ou plus dangeureuse. Il y avait quand même trois policiers armés jusqu´au dent. C´est une police pacifiste, juste au cas ou.

 

Après une très belle semaine en la compgnie de ma cousine, mon cousin et leurs enfans, je repars vers Sao Paulo pour y retrouver des collocs avec qui j´étais en Irlande. Mais avant cela, mon cousin me conseil tout d´abord de longer la Costa Verde (cote verte) et de passer par Paraty. Un choix plus que judicieux. La route est magnifique et la ville de Paraty qui date du 17ème siècle et qui a fait fortune grace aux commerces de l´or et du café avec le Portugual notamment est splendide ! Y marcher est un régal.

 

Après une bonne nuit en Posada (genre d´hotel), je repars le lendemain vers 13h pour Sao Paulo. Plus motivé que jamais, je me présente avec mon panneau Direcao Sao Paulo (direction Sao Paulo). 10 minutes à peine Anacleto s´arrete et m´amène jusqu´a SP. Mieux encore, il m´offre le diner et me dépose au lieu de rendez vous avec Marla ! Nous retrouvons par la suite son ami Thirre rencontré aussi en Irlande.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

QUE D´EMOTIONS

 

Après un peu plus de 2 jours à SaiPaulo ou j´ai pu voir mes anciens colocs Brésiliens, faire une petite soirée... je suis parti vers Sorocaba pour voir un autre ami et me reposer aussi avant d´entamer une longue route de plus de 1000Km pour rallier Sorocaba à Iguacu. 

 

Le premier jour, j´ai parcouru la moitié ce qui est une belle perf mais le second jour, une cata. Une pluie torrentielle avec aucune station essence pour pratiquer l´autostop. J´essai sur la route tout en marchant mais rien ne marche. Au brésil, le stop c´est dur. Quand il pleut c´est impossible. J´ai donc intégré le club des alcooliques anonymes Argentins. Un bar bien local ou nous avons bu quelques bières et joué au billard (J´ai pris 2 raclé. Après plus ou moins deux heures en leur companie, je décide de repartir sur la route à la recherche

d´une station. Je finis par désespoir de choisir l´option abribus-stop qui ne marche pas. 

 

La pluie s´arrete. je pars me coucher avec ma nouvelle tente. Le lendemain, je me met dans une station mais qui est à gauche de la route. Rapidement, je comprends que je ne partirai jamais. Un type me conseil d´avancer à pied jusqu´à un rond point et la miracle ! Un conducteur s´arrete ! Il m´amène sur 1000Km

 

Il est très curieux de mon voyage, tu dors ou, tu te douches comment... Je réponds jusqu´au moment ou il vient me toucher le genou avec un peu d´insistance. Je le repousse gentillement tout en me disant : soit il est tactile comme un brsilien, soit homosexuel. Nous continuons à parler et cette fois-ci c´est la main entre genou et pénis. Je le repousse et lui dit que je ne suis pas interessé. Il commence à se tocuher la cuisse au meme endroit qu´il m´a tocuhe en me disant t´aime pas ca... Je lui dis clairement que non.

 

Dans la situation et compte tenu de la route, je ne peux pas lui dire dépose moi là DE SUITE ! Si je le fais, jamais je ne serai pris et j´aurais 80 Km à me taper à pied.

 

Au final, j´ai cru comprendre qu´il s´est excusé et il me dépose à un endroit stratégique mais encore une fois, aucune station.

 

J´attends 3 heures avant de repartir et c´est Elise qui me prend. Elle a une voiture pourrie ! Rétro cassé, siège cassé, porte qui se sont bloquées... La voiture fait un vacarme d´enfer. Un genre de Fiat avec un bruit de tracteur. Elle est super cool, m´offre de l´eau, des gateaux. Je crois comprendre que sa voiture n´est pas aux normes et qu´un jour, un policier

l´a arreté et que par désespoir il l´a laissé repartir. Ainsi, à chaque passage de poste de police, elle est soulagée. Lorsque l´on passe le dernier, je lui dis c´est bon maintenent. Erreur ! 1Km plus loin, sur la deux voies, une voiture de police occupe la voie de droite, perpendiculaire à la route. Nous avoncons tranquillement. A 300m, l´un des deux policiers se met sur la route, flingue pointé et l´autre main disant de nous arreter de suite ! Je comprends pas très bien le Brésilien mais le message du policier devait etre le suivant : ARRETEZ VOUS DE SUITE ! ARRETEZ VOUS ET SORTEZ DU VEHICULE ! 

 

Rapidement, le policier de mon coté comprend que je ne parle pas Brésilien. Heuresuement, il parle anglais et m´explique que la voiture est potentiellement volée et qu´elle prend la direction du Paraguay pour etre revendu.

 

Nous partons au poste de police, 1h20 d´attente. Ma consuctrice pleurt en disant qu´elle n´était pas au courant. Nous filons ensuite en ville à Iguacu pour un entretien avec le chef de police. Entretien que je ne passerai pas car avec mon sac QUECHUA, on comprend que j´étais avec cette dame au mauvais moment, au mauvais endroit. 

 

Elise reste pour passer l´entretien, je quitte le poste sans jugement ni arrière pensée sur ma conductrice. Elle a été très gentille avec moi.

 

Je suis maintenant à Iguacu et pour visiter les chutes d´Iguacu et passer en Argentine.

 

1 - Photos Brésil (vous pouvez double cliquer)

2 - Photos Brésil (vous pouvez double cliquer)

3 - Photos Brésil (vous pouvez double cliquer)

bottom of page